Guide de la visite
- Comment visiter Wellington sur une journée ?
- Visite du front de mer (Waterfront & Oriental Bay).
- Bienvenue au Te Papa, un musée révolutionnaire.
- Shopping à Lambton, quartier des affaires.
- Visite du Jardin botanique et de Zealandia.
- De Cuba Street à Courtenay pour faire la fête !
- Wellington, la plus belle ville de Nouvelle-Zélande ?
Comment visiter Wellington sur une journée ?
Si la capitale de la Nouvelle-Zélande est surnommée Wellywood, elle le doit en grande partie à Peter Jackson. Le réalisateur néo-zélandais du Seigneur des anneaux et du Hobbit est à l'origine des studios Weta reconnus dans le monde entier.
Wellington évoque surtout San Francisco qui a été construite à la même époque.
Les deux villes partagent le même style architectural composé de charmantes villas victoriennes établies à flanc de colline avec vue sur la baie.
Ne comptez pas sur moi pour jouer au jeu des sept erreurs. Je ne connais pas assez San Francisco, mais je suis un inconditionnel de Wellington qui demeure ma ville préférée du pays même si j'apprécie aussi énormément Christchurch, la capitale du Canterbury.
C'est une destination incontournable qui se doit de figurer dans le programme de votre voyage en Nouvelle-Zélande.
Vous la trouverez sur la carte au sud-ouest de l'île du Nord, près du détroit de Cook qui sépare les deux grandes îles du pays. Répartie sur plusieurs baies elle se situe dans les quarantièmes rugissants. C'est sans doute pour cela que ses 180.000 habitants de la ville la surnomment “Windy Welly”, la ville des vents. Les rafales qui s'engouffrent dans le détroit ont la fâcheuse tendance de retourner les parapluies. Cependant, la ville profite d'un climat océanique doux et agréable toute l'année.
Les tours opérateurs ont tendance à placer Wellington à mi-parcours des circuits répartis sur les deux îles. Ce qui laisse rarement plus d'une journée au voyageur pour explorer la ville avant de rejoindre le ferry de la compagnie Interislander. Comment profiter de la ville en si peu de temps ? On ne peut pas prétendre explorer une capitale en 24 heures ! Mais ne vous inquiétez pas, les lecteurs de Kiwipal ont droit à mon parcours spécial.
Mon itinéraire original vous révèle les différentes facettes de Wellington.
Nous allons circuler à pied la plupart du temps, mais le trolleybus quadrille le centre-ville et ne coûte que 6 $ la journée, autant ne pas s'en priver ! Pour ce qui est du programme, je vous ménage quelques surprises... Wellington plus belle ville de Nouvelle-Zélande ? Ce sera à vous d'en décider !
Visite du front de mer (Waterfront & Oriental Bay).
L'ancien port de Wellington, Waterfront, a été rénové pour offrir un vaste espace de détente à deux pas du centre-ville. Le quartier s'est construit en gagnant continuellement sur la mer au prix d'efforts considérables.
Pour une fois qu'un tremblement de terre sert à quelque chose... Le grand séisme de 1855 à surélevé la côte de quelques mètres faisant économiser des millions de dollars. La promenade qui longe les quais jusqu'au parc de Frank Kitts est connue sous le nom de “Wellington Writers Walk”. On y trouve des citations célèbres gravées dans la pierre. Leurs auteurs ont en commun d'avoir voyagé et vécu à Wellington durant leur vie.
« It's true you can't live here by chance, you have to do and be, not simply watch or even describe. This is the city of action, the world headquarters of the verb » (Lauris Edmond).
Nous allons rejoindre la plage d'Oriental Bay pour profiter des premiers rayons de soleil. Certains habitants pratiquent déjà le jogging ou longent les quais en rollers.
Les plus motivés réservent des kayaks ou des pédalos. Ici, les vagues ne sont pas assez hautes pour surfer, mais il existe d'excellents spots un peu plus loin dans la baie.
Je vous suggère d'enlever vos chaussures pour finir la promenade dans le sable fin. Si vous avez envie de mettre les pieds dans l'eau, profitez-en. De mon côté je vais guetter au large pour voir s'il y a des dauphins. On les observe de temps en temps qui viennent jouer dans le port.
Tournez le dos un instant à la plage pour admirer les ravissantes villas 1900 qui entourent la vieille église de St Paul, sur les flancs du mont Victoria. Si vous êtes encore là demain, nous grimperons au sommet pour profiter d'une vue inégalée sur toute la baie.
Pour le moment, nous allons revenir sur nos pas afin de trouver l'entrée du Civic Center.
Cette grande esplanade décorée d'élégantes sculptures de palmiers relie tous les quartiers entre eux. Point de rassemblement des festivals en plein air, c'est l'endroit rêvé pour prendre le brunch en terrasse.
Au centre de la place, je vous conseille de lever les yeux au ciel pour découvrir une oeuvre de Neil Dawson.
La sphère en acier qui semble flotter dans l'air représente cinq variétés de fougères entremêlées. Les câbles qui la retiennent ne se repèrent pas de loin et l'effet est saisissant.
Je vous laisse choisir entre prendre un café, ou visiter les différents bâtiments qui entourent le Civic Center. Ils offrent pour la plupart un véritable mélange d'architecture classique et contemporaine.
Vous pouvez récupérer une carte de la ville au centre d'information (i-SITE) ou jeter un coup d'oeil à l'immense librairie, mais ne tardez pas trop, le Te Papa nous attend pour la suite du voyage !
Bienvenue au Te Papa, un musée révolutionnaire.
Le musée national a coûté 317 millions de dollars et nécessité 13 longues années de travaux. Ouverts au public en 1998, ses six étages ultra modernes du Te Papa couvrent la superficie de trois terrains de rugby.
Chaque année, plus d'un million de visiteurs se pressent pour visiter le musée le plus populaire de Nouvelle-Zélande. Malgré cette fréquentation record, on ne se sent pas le moins du monde oppressé.
Les concepteurs ont privilégié l'espace quitte à limiter le nombre d'oeuvres. En langue maorie, Te Papa Tongarewa signifie “Les trésors de notre terre”.
Le musée a pour vocation de retracer l'histoire du pays depuis ses origines volcaniques jusqu'à la période contemporaine.
C'est le meilleur endroit pour s'initier à la culture maorie d'autant que les collections permanentes sont gratuites. Chaque niveau propose un circuit autour d'un thème central.
La décoration colorée et les éclairages subtils mettent en valeur des oeuvres de grande qualité. Projections vidéos et reconstitutions achèvent de rendre l'ensemble cohérent et passionnant.
Avant d'attaquer la visite, que diriez-vous d'une promenade en forêt ? Non loin de l'entrée se trouve un bush suivi d'un paysage volcanique. Viennent ensuite un lagon et une cascade suivis d'une grotte remplie de vers luisants qui rappelle celles de Waitomo.
Tout simplement incroyable ! Et je vous confirme qu'il ne s'agit pas d'une reconstitution, mais d'un véritable espace naturel.
Il y en a pour tout les goûts, et ne sachant pas ce que vous appréciez le plus, je ne vais pas vous décrire tous les étages un par un. Mais je peux sans doute vous présenter rapidement ce que j'ai adoré lors de mes précédentes visites. Au deuxième niveau, vous allez frissonner devant le plus grand calamar géant du monde. Le corps de cette merveille (ou de cette horreur, comme vous voudrez...) mesure 4 m et pèse une demi-tonne. Je vous mets au défi de plonger votre regard dans les globes oculaires de 28 cm de ce monstre !
Vous êtes-vous déjà demandé ce que l'on ressent durant un grand tremblement de terre ?
Suivez-moi dans une petite maison montée sur vérins hydrauliques. À intervalle régulier, l'installation reproduit l'effet d'une puissante secousse sismique.
Le mobilier intérieur se renverse, les murs penchent tandis que l'on se cramponne pour garder l'équilibre...
Si vous êtes passionné par les volcans vous allez adorer l'exposition “Blood Earth Fire”.
La Nouvelle-Zélande est une terre volcanique située sur la grande ceinture de feu du Pacifique. Vous comprendrez l'origine des tremblements de terre qui secouent les deux îles. La présentation est ludique et jamais ennuyeuse.
Grimpez ensuite au quatrième étage pour plonger dans la culture locale. Visitez une “marae, une authentique maison maorie en bois sculpté. Retrouvez-moi ensuite devant les célèbres “wakas”, ces pirogues de guerre taillées dans des troncs d'arbres géants ! Si seulement tous les musées pouvaient être comme le Te Papa Tongarewa ...
Il est déjà midi et nous avons encore une ville à visiter ! Je vous laisse faire un tour à la superbe boutique de souvenirs.
Ne tardez pas trop pour me rejoindre dans le Te Papa Café au premier niveau.
En règle générale, je n'apprécie guère les restaurants des musées. Mais celui-ci propose une nourriture plus que correcte et abordable.
Cela va nous faire gagner du temps pour partir à la découverte du centre ville.
Shopping à Lambton, quartier des affaires.
Après avoir rechargé nos batteries, nous allons gagner le district de Lambton. Le “Golden mile” de Wellington, regroupe les principaux centres commerciaux et les boutiques des plus grandes marques.
Mais cela n'a pas toujours été l'endroit rêvé pour faire du shopping. Au temps des premiers colons, vous auriez eu les pieds dans l'eau ! La totalité du quartier a été gagnée sur la mer durant des décennies. Regardez ces plaques sur le bord du trottoir, elles indiquent le tracé du littoral au 19e.
Un tel phénomène n'est pas rare en Nouvelle-Zélande, et de nouvelles terres sont sorties des flots à Napier et à Kaikoura par le passé.
Cependant, Lambton ne se résume pas à une succession d'arcades ou de rues commerçantes.
Il s'agit du principal quartier d'affaire. Les immeubles modernes côtoient d'élégantes constructions du 19e.
C'est un ensemble très dynamique qui bourdonne jusqu'à la fermeture des bureaux en fin de journée.
Le Backbenchers Pub que nous venons de dépasser accueille aussi des politiciens.
En parlant de politique, il faut absolument que je vous montre le parlement néo-zélandais sur Bowen Street. Cet étrange édifice porte le nom de Beehive, c'est-à-dire “La ruche”. On adore ou l'on déteste !
Si vous préférez un style plus traditionnel, vous pouvez admirer l'ancien parlement de 1876. Il abrite désormais la faculté de Droit et le Département de la conservation. Ce magnifique édifice de style renaissance est entièrement bâti en bois de kauri.
Paradoxalement, ce matériau noble qui ne représentait rien à l'époque coûte aujourd'hui une fortune.
Le reste du quartier est occupé par les ministères, je doute que cela vous intéresse alors nous allons prendre de la hauteur.
Le funiculaire de Lambton Quay (cable car) va nous permettre de rejoindre la prochaine étape de mon circuit.
Nous venons juste de le manquer, cela me laisse le temps de vous expliquer pourquoi Wellington est bâtie à flanc de colline.
En 1840, les premiers colons débarquent sous une pluie battante pour fonder Britania. Les rivières en crue emportent les maisons et mettent en péril l'avenir de la colonie. Pas question d'abandonner pour autant, et l'on décide de déplacer la ville vers Lambton Harbour.
Pour célébrer la victoire de Waterloo, on rebaptise la colonie du nom du duc de Wellington.
Mais les plans dessinés à Londres ne cadrent plus du tout avec le nouveau terrain. Comme personne ne souhaite entreprendre un voyage de six mois aller-retour pour faire réviser les plans on décide de les garder tels quels !
Vous savez maintenant pourquoi les rues de Wellington sont aussi inclinées et disposent de 400 funiculaires (record du monde).
C'est également pour cette raison que l'on cherche à gagner sur la mer.
Notre funiculaire sera là dans une minute. Sa tôle rouge vif, lui a valu le surnom affectueux de “boite de conserve suisse”. Anciennement à vapeur, il fonctionne désormais à l'électricité, ce qui est certes moins romantique, mais beaucoup plus pratique. Montez à bord, et profitez du voyage pour découvrir la baie de Wellington.
Il existe même un petit musée consacré au cable car de Wellington.
Visite du Jardin botanique et de Zealandia.
Le grand Jardin botanique desservi par le funiculaire remonte presque à la fondation de la ville. Ses 26 hectares ont été plantés pour la première fois en 1868. Il surplombe la côte ouest et offre un point de vue sur le mont Victoria de l'autre côté de la baie.
Prenez plaisir à admirer les innombrables variétés de plantes rares. Des sentiers rejoignent des fontaines et des bassins où nagent des canards. Du printemps au début de l'été, 30.000 tulipes colorent le paysage. On finirait presque par chuchoter tellement le jardin est paisible.
La Roseraie Lady Norwood abrite une centaine de parterres de roses différentes.
Les parfums qui flottent dans l'air nous entraînent jusqu'à la serre de Begonia House. On y découvre non seulement des fleurs du même nom mais des plantes tropicales et carnivores ! Un charmant bassin où flottent des nénuphars précède une incroyable collection d'orchidées.
Au coeur du jardin, profitez d'une grande pelouse pour vous étendre et observer les nuages. Cet ensemble que l'on appelle “The Dell” accueille des concerts de jazz et des projections de films en plein air. Nous avons déjà visité un musée aujourd'hui, alors nous ne nous attarderons pas au planétarium. L'observatoire Carter révèle les secrets de navigation et la cosmologie des Maoris. On peut y observer le soleil avec un télescope à filtre et les constellations en soirée.
Nous avons achevé le tour du parc, mais je vous ai prévu une surprise. Commençons par quitter l'enceinte du Jardin botanique pour explorer le quartier de Kelburn.
Quelques rues plus loin, nous allons nous heurter à une imposante muraille qui n'est pas sans rappeler l'enclos des dinosaures dans le film “Jurassic Park”.
Zealandia, le sanctuaire Karori a été ouvert au public en l'an 2000. Cette immense réserve de 250 hectares abrite une faune et une flore complètement sauvage.
Une trentaine d'espèces rares vit ici à l'abri des prédateurs. C'est un véritable parc naturel en plein coeur de la ville moderne. Il possède même un lac !
Je vais vous laisser partir à l'aventure en compagnie d'un guide. Vous aurez besoin de lui pour ne pas vous perdre dans les kilomètres de sentiers qui sillonnent la forêt.
Vous me retrouverez près de l'entrée en fin d'après-midi, le sourire aux lèvres et vos appareils photo remplis d'images de Kiwis, Kaka, Tuatara et autres superbes créatures.
Suis-je le seul à avoir faim ? Vous avez marché plus que moi, alors je suppose que la réponse est oui. Il est temps de replonger au coeur de la ville !
De Cuba Street à Courtenay pour faire la fête !
Le Cuba de Wellington n'est pas une enclave cubaine en Nouvelle-Zélande. Le quartier doit son nom à l'un des premiers navire de colons qui a accosté ici en 1840.
C'est un quartier très animé avec des spectacles à tous les coins de rue.
L'atmosphère bohème et rétro attire une population jeune qui flâne le long des boutiques de créateurs. J'adore cette ambiance décalée et funk et je visite toujours les magasins de musique pour trouver de vieilles partitions.
Cuba Street est une ancienne voie de tramway désormais réservée aux passants. C'est aussi la rue la plus célèbre de la ville.
Nous avons l'embarras du choix, car Wellington compte plus de Cafés par habitant que New York ! Tous les types de cuisine sont représentés, encore faut-il trouver de la place.
Mais j'ai aussitôt pensé à vous emmener au Fidel's, qui est mon café préféré, et qui affiche fièrement les couleurs de La Havane. On y sert des oeufs accommodés de toutes les façons, des pizzas et des salades de rêve. Cocktail et milk-shakes sont incontournables et comme il reste de la place dans la petite cour intérieure il ne faut pas hésiter !
Quand je préfère être au calme, je vais plutôt au Logan-Brown dans la même rue. Ambiance radicalement différente, mais pas guindée pour autant dans le meilleur restaurant gastronomique de Wellington. Cuisine raffinée, cadre paisible et note un peu salée. Cela dit, il aurait fallu réserver.
Maintenant que la nuit est tombée, il nous reste deux solutions. Si vous êtes épuisé, je vous raccompagne à l'hôtel. S'il vous reste de l'énergie, je propose de prolonger la soirée. Vous êtes partant ? Prenons d'abord un café avant de régler la note, ils sont réputés comme étant les meilleurs de la ville.
Courtenay est le quartier le plus populaire et le plus branché de Wellington.
Siège de la vie culturelle underground, on y trouve la plupart des théâtres, salles de cinéma et boites de nuit. Le quartier est à quelques rues de Cuba Street, nous pouvons y aller à pied.
En chemin, je vous montrerais l'Embassy theatre où l'on projette les premières de tous les films de Peter Jackson.
Nous ne devrions plus être très loin du Mighty Mighty, le bar musical le plus tendance actuellement.
Ambiance chaude et franchement alcoolisée, mais très “select”, dans ce lieu où l'on écoute des artistes en live. Sur le chemin du retour, vous apercevrez peut-être le fantôme de Ben Hana (le célèbre Blanket Man de Wellington !) Cette figure locale excentrique vivait dans Cuba Street, pratiquement nu du matin au soir (jusqu'à son décès en 2012).
Wellington, la plus belle ville de Nouvelle-Zélande ?
Wellington est un concentré des aspects positifs de la Nouvelle-Zélande. Il faudrait bien compter deux ou trois jours pour explorer les baies et les différents quartiers que nous n'avons fait que survoler.
En dépit de cela, j'espère que cette journée vous aura enthousiasmé et donné envie de revenir lors d'un prochain voyage !
J'ai toujours trouvé les habitants de Wellington chaleureux et très accueillants. Ce n'est pas un hasard si la capitale du pays occupe la 12e place du classement Mercer des villes dans le monde où il fait bon vivre.
Le vent qui balaye les rues constitue son seul point faible mais il faut croire que l'on s'y habitue. En tout cas cela ne nous a pas arrêté aujourd'hui. Cela ne peut pas être pire qu'à Castlepoint qui possède un phare où le vent souffle encore plus fort !
Si le temps est mauvais, ce ne sont pas les sorties couvertes qui manquent, à commencer par le Te Papa. Ce musée est le joyau de la ville et les habitants le visitent en moyenne 3 ou 4 fois par an. Aux collections permanentes s'ajoutent des expositions temporaires très originales. Lors de ma dernière visite, l'une d'entre elles était même consacrée aux jeux vidéos !
On a beaucoup jasé sur la rivalité entre la capitale et Auckland. Je ne vois pas comment l'on pourrait les départager selon des critères objectifs.
Elles ont en commun d'être situées dans des régions magnifiques qui permettent des sorties en pleine nature. Je préfère Wellington pour sa baie et ses villas à flanc de colline, mais c'est personnel.
Même avec beaucoup d'imagination je ne vois pas comment j'aurais pu trouver le temps de vous emmener sur Kapiti Island.
Cette île de 2000 hectares reconvertie en réserve abrite 1400 kiwis. Seuls 50 visiteurs peuvent s'y rendre chaque jour. Autant dire que c'est un véritable paradis naturel que je vous présenterai dans un prochain article.
Wellington est le passage obligé pour les voyageurs qui transitent de l'île du Nord à l'île du sud de la Nouvelle-Zélande.
La traversée qui rejoint la ville de Picton dure environ 3 heures avec plusieurs départs quotidiens.
Je vais vous conduire au ferry qui assure la traversée et nous nous retrouverons au parc national d'Abel Tasman.
Ne manquez pas mes articles sur les villes de l'île du sud. Queenstown, Wanaka ou Christchurch sont au programme.
D'ici là, je vous laisse avec notre ami guide Ben le Kiwi dont la famille a longtemps habité Wellington. Il a usé d'innombrables paires de chaussures à parcourir les rues en pente de la ville.
Ben répondra avec plaisir à toutes vos questions. Pour le remercier de son aide, envoyez-nous les photos de votre séjour à Wellington, nous les publierons sur le site !